CREDEAU : centre de l'eau
Le CREDEAU, fondé en 2003, est le Centre de recherche, développement et validation des technologies et procédés de traitement des eaux résultant d’un consortium de Polytechnique Montréal, l'Université de Montréal, l'École de Technologie Supérieure et l’Université McGill.
Le budget du CREDEAU s’élève à 17,3 M$ et est soutenu financièrement par la Fondation Canadienne pour l'Innovation, le Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport du Québec et plus de 35 partenaires industriels. Cette subvention a permis la construction de laboratoires de recherche modernes, l’achat de matériel analytique de pointe et l'acquisition d'unités pilotes mobiles de traitement, uniques au Canada. Elle permet à la communauté des chercheurs de poursuivre des activités de recherche de calibre international.
Les thèmes de recherche du CREDEAU rejoignent l’ensemble du cycle de l’eau et incluent le traitement de l'eau potable, l’hydraulique et la gestion des réseaux de collecte et de distribution d'eau, le traitement des eaux usées ainsi que la gestion des boues et des odeurs.
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Département de génie civil, géologique et Mines
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Revue de presse

16 novembre 2023 - Québec Science
Est-ce la fin des PFAS?
Benoît Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, revient sur l'usage des substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées, surnommées les « polluants éternels » dans la fabrication des objets du quotidien.

26 octobre 2023 - ICI Première Bas-Saint-Laurent
Même fréquence | Suivi des problèmes d'eau potable à St-Fabien
Benoît Barbeau, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, intervient sur la coloration naturelle et polluante de l'eau potable.

22 mars 2023 - Radio-Canada (site web)– La Presse canadienne
Des villes pressent Ottawa de légiférer contre les PFAS et les microfibres dans l’eau
Dominique Claveau-Mallet, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, revient sur l’étude à participation citoyenne qu’elle a menée et qui estime que jusqu’à 13 tonnes de microplastiques pourraient être détournées du réseau des eaux usées de Montréal en filtrant les eaux rejetées par les laveuses.