7 septembre 2022, La Presse
À l’Université de Montréal, le professeur Normand Mousseau, aussi directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier de Polytechnique Montréal, est également sceptique par rapport à la construction de nouveaux barrages. « On ne peut plus inonder des territoires comme on l’a fait par le passé, pour les raisons environnementales et d’acceptabilité sociale qu’on connaît. Ça fait en sorte qu’on ne pourra pas avoir beaucoup de réservoirs, et donc moins de flexibilité », évoque-t-il en entrevue.