Guy Marleau, professeur associé au Département de génie physique, partage son expertise sur la sécurité nucléaire suite aux récents événements qui se sont déroulés en Ukraine.

Geneviève Boisjoly, professeure adjointe au Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal, discute à propos de l'étude qu'elle a menée, en collaboration avec d'autres chercheurs, sur les déplacements des femmes et les solutions proposées pour favoriser l'équité dans les transports en commun (p 16-17).

Michel A. Bouchard, professeur associé au Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal, partage son expertise sur l'impact environnemental que peuvent avoir les guerres.

L’Institut de l’énergie Trottier (IET) de Polytechnique Montréal a présenté son plan afin d’aider le gouvernement canadien à atteindre ses cibles climatiques d'ici 2030.

Dans cette lettre d'opinion, les professeurs titulaires Frédéric Cuppens, Nora Boulahia Cuppens et Gabriela Nicolescu, du Département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique Montréal, invitent la communauté scientifique en cybersécurité à se mobiliser afin d’assurer la cybersécurité nationale.

Frédéric Cuppens et Nora Boulahia Cuppens, professeurs titulaires au Département de génie informatique et génie logiciel à Polytechnique Montréal et experts en sécurité informatique, discutent à propos de la menace d'une cyberguerre mondiale, dans le contexte de l'invasion russe en Ukraine. 

Richard Labib, professeur agrégé au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, partage son expertise pour expliquer pourquoi certaines personnes s'intéressent aux dates palindromes. 

Cet article dresse le portrait de Samuel Pierre, professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel. 

Giovanni Beltrame, professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel, discute à propos des propulseurs ioniques qui sont utilisés par des satellites de télécommunications (à 5:27) et du choix de SpaceX de larguer des satellites à plus basse altitude (à 7:57).