12 mai 2018, Le Journal de Montréal
« Si les limites de vitesse existent, c’est pour qu’elles soient respectées. Point à la ligne. Si chacun respectait le code de sécurité routière, on n’aurait pas besoin de ces applications mobiles », lance pour sa part Erick Abraham, ingénieur mécanique et associé de recherche à Polytechnique Montréal.