Catherine Morency, professeure titulaire au département de génies civil, géologique et des mines, estime que le projet du troisième lien est absurde et va à l’encontre des objectifs de mobilité durable, soulignant que les analyses du ministère des Transports confirment son absence de justification pour le bon développement du territoire.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, estime que la relance des projets Énergie Est et GNL Québec est peu probable, car le contexte énergétique mondial a changé, rendant ces investissements risqués et peu rentables.
Carole Brunet, chercheuse postdoctorale au Département de mathématiques et génie industriel, étudie l’impact des énergies renouvelables sur les communautés locales afin d’améliorer leurs retombées positives, en insistant sur l’importance d’une planification réfléchie, d’une intégration des populations concernées et d’une application concrète des recommandations issues de la recherche.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, dénonce l'incohérence du gouvernement québécois qui, en envisageant de relancer GNL Québec, contredit ses engagements avec la BOGA visant à éliminer non seulement la production, mais aussi les infrastructures favorisant l'utilisation des énergies fossiles.
Nicolas Saunier, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, soutient l’idée d’une taxe kilométrique, estimant qu’un système de paiement basé sur l’usage permettrait un financement plus équitable des infrastructures routières.
Éloïse Edom, associée de recherche à l'Institut de l'énergie Trottier, explique l'empreinte carbone de la radio en la comparant à d'autres médias comme la télévision.
Salle de presse
7 février 2025, ICI Nouvelle Saguenay–Lac-Saint-Jean
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, souligne que relancer GNL Québec serait un projet complexe et coûteux, nécessitant des années de construction, des investisseurs privés et des clients engagés à long terme, avec un risque de dépassement budgétaire important.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, explique qu'imposer des tarifs sur l'hydroélectricité exportée vers les États-Unis serait risqué, car le Québec a peu de surplus et cela pourrait faire perdre des acheteurs au profit d'autres fournisseurs.
Félix Gervais, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, est interrogé sur l'accès à des territoires pour l'extraction des minéraux critiques.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, estime que la taxe américaine de 10 % sur l’électricité canadienne pourrait avoir un impact limité sur Hydro-Québec.