Environ 29,5 % de l’empreinte carbone de l’assiette d’un Québécois est attribuable au gaspillage alimentaire, selon des données publiées en 2020 par le CIRAIG et PolyCarbone.
Jason Tavares, professeur titulaire au Département de génie chimique, pourrait bien avoir trouvé le moyen de réduire sensiblement les besoins en pesticides, en modifiant la texture microscopique des «filets d’exclusion» dont on recouvre certaines cultures.
Pooneh Maghoul, professeure agrégée au Département des génies civil, géologique et des mines, partage son expertise sur la formation des ornières sur la route qui font craindre des accidents sur l'autoroute 15 dans les Laurentides.
Selon une nouvelle étude de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal et Équiterre, le quart des trajets en voiture pourraient être faits à vélo électrique. Selon Catherine Morency, titulaire de la Chaire et professeure titulaire au Département des génies civil, géologiques et des mines, l’étude illustre aussi la nécessité de construire plus d’infrastructures de stationnement et de recharge pour les vélos électriques, souvent plus lourds et plus chers à acquérir.
Entrevue de Caroline Boudoux, professeure titulaire au Département de génie physique, à propos de l’événement "La lumière de chez nous" organisé par l’Assemblée nationale du Québec et Optonique, en collaboration avec Polytechnique Montréal. (en anglais)
Les entreprises québécoises achètent chaque année des dizaines de millions de droits d’émission aux entreprises californiennes. Normand Mousseau, directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier, estime que si la tendance des prix et des émissions se maintient, la facture pourrait atteindre le demi-milliard de dollars juste pour cette année.
Pooneh Maghoul, professeure agrégée au Département des génies civil, géologique et des mines, discute à propos de la deuxième édition du colloque Contributions du Canada en sciences et génie pour l'exploration spatiale.
L'experte en mobilité de Polytechnique Montréal Catherine Morency résumait le problème ainsi au micro de l'émission Tout terrain le 28 avril dernier : des chiffres de partout à travers le monde démontrent bien que ça nous rapporte plus comme société quand on investit dans le transport en commun que quand on met de l'argent dans les routes.
Selon la chercheuse Brigitte Bouchard-Milord, du Département des génies civil, géologique et des mines, il est beaucoup plus rentable de convaincre un automobiliste de prendre un autobus à moteur diesel, ce qui retire quatre tonnes de GES, que de remplacer cet autobus par un autobus électrique, ce qui représente une baisse d’une tonne de GES par passager.
Éloïse Edom, associée de recherche à l'Institut de l'énergie Trottier, discute à propos des émissions de GES liées à la production d'électricité au Nouveau-Brunswick. (à 5:17)