Une centrale thermique qui souhaite capter puis stocker le carbone consomme entre 20 % et 25 % plus d’énergie que celle qui ne le fait pas. «Cette énergie consommée en plus peut dans certains cas avoir un effet sur l’environnement qui est encore pire que le CO2 qui serait émis», mention de Jamal Chaouki, professeur titulaire au département de génie chimique à Polytechnique Montréal.
Depuis 2010, la géothermie connaît des temps difficiles. Son coût élevé d’implantation n’arrive plus à concurrencer le prix du gaz. La recherche entreprise sur le sujet par les professeurs-chercheurs Philippe Pasquier et Benoît Courcelles, de l’école Polytechnique Montréal, pourrait toutefois changer la donne...
Industrie 4.0 : la quatrième révolution industrielle en train de transformer le génie grâce à l'utilisation des données. Mentions de Carl-Éric Aubin, professeur titulaire au département de génie mécanique de Polytechnique Montréal et de Steven Chamberland, directeur des affaires académiques et à la vie étudiante de Polytechnique Montréal.
Le maire de Lévis a convenu que l’option à l’est serait, pour le moment, la seule « techniquement réalisable » selon l’étude de Bruno Massicotte, professeur titulaire au département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal.
Plusieurs chercheurs et inventeurs marocains résidant au Canada travaillant sur des concepts innovants dans le domaine de la réduction de l’impact des changements climatiques seront au rendez-vous, comme Jamal Chaouki, professeur titulaire au département de génie chimique à Polytechnique Montréal et président de la chaire Total.
C’est pour démystifier les installations géothermiques avec des puits à colonne permanente que Philippe Pasquier et Benoît Courcelles, professeurs au département de génies civil à Polytechnique Montréal, ont combiné leurs expertises notamment en géothermie et en traitement des eaux souterraines. Ils ont également pour objectif d’apporter une solution aux difficultés posées par la géothermie au Québec.