Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, explique qu'imposer des tarifs sur l'hydroélectricité exportée vers les États-Unis serait risqué, car le Québec a peu de surplus et cela pourrait faire perdre des acheteurs au profit d'autres fournisseurs.
Félix Gervais, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, est interrogé sur l'accès à des territoires pour l'extraction des minéraux critiques.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, estime que la taxe américaine de 10 % sur l’électricité canadienne pourrait avoir un impact limité sur Hydro-Québec.
Bruno Marcotte, associé de recherche au Département de génie mécanique, met en avant le potentiel énergétique des rejets thermiques industriels au Québec, qui pourraient être valorisés pour chauffer des quartiers mixtes ou des serres, réduisant ainsi la consommation d’énergie et les émissions de GES.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, souligne la dépendance du Vermont à l’électricité québécoise et propose de taxer l’électricité exportée pour aider les entreprises en cas de guerre commerciale.
Michèle Prévost, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, conseille d’utiliser l’eau froide pour éviter la dissolution du plomb et de maintenir les chauffe-eau à 60 °C pour prévenir les infections.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, revient sur le déplacement d'eau du réservoir de la centrale Romaine-3 vers celui de Romaine-2 afin de produire suffisamment d'électricité pour la province.
Benoît Barbeau, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, souligne que si certains filtres domestiques peuvent réduire les PFAS et pesticides, seule une action politique et un traitement de l’eau à grande échelle garantiront une eau véritablement saine pour tous.
Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, affirme que le projet d'oléoduc Énergie Est n’est pas une solution viable à court terme et qu’il serait préférable d’optimiser l’utilisation des infrastructures existantes comme l’oléoduc Trans Mountain (à 10min.).