Laboratoire CREDEAU
Revue de presse

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8 octobre 2019, La Presse
À une réglementation « laxiste » s'ajoute un problème de transparence au Québec, affirme Michèle Prévost, sommité mondiale du plomb dans l'eau potable et titulaire de la Chaire industrielle en eau potable de Polytechnique Montréal. Le ministère de l'Environnement ne diffuse pas systématiquement les résultats de ses tests, et ils ne sont pas davantage accessibles aux chercheurs dans les universités, déplore-t-elle.
12 juillet 2019, Le Devoir
Michèle Prévost, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal soutient qu'il est "de notre devoir de mesurer adéquatement le plomb dans l'eau de nos écoles".
3 mai 2019, Radio-Canada
Mentions d'Yves Comeau et de Benoit Barbeau, professeurs titulaires au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal.
13 mars 2019, Nord Info / Voix des Milles-Îles
Cette étude d'envergure sera menée en vertu du Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection (RPEP) et regroupe donc sept partenaires municipaux, ainsi que Polytechnique Montréal, qui aura pour rôle d'effectuer l'analyse technique de vulnérabilité des sources.
21 janvier 2019, Télé-Québec
Rencontre avec Benoit Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal (0:49).
2 novembre 2018, Le Devoir
Loin de diminuer, les déversements d'eaux usées dans les cours d'eau québécois ont augmenté au cours des dernières années, estime Michèle Prévost, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, alors que Longueuil s'apprête à rejeter 162 millions de litres d'eaux usées dans le fleuve Saint-Laurent.
2 novembre 2018, The Gazette
Les explications de Sarah Dorner, professeure agrégée au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal.
1 août 2018, Francopresse
Pour Sarah Dorner, professeure agrégée au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, il ne fait aucun doute que la hausse des températures agit sur la qualité de l'eau : « Quand il fait chaud, les cyanobactéries se développent plus facilement. Les microorganismes pathogènes sont favorisés. Le réchauffement a un impact sur les sources de contamination ».