Les transports en commun ont été imaginés et conçus par qui et pour qui? Serait-ce par des hommes et pour les hommes? La professeure adjointe en génie des transports à Polytechnique Montréal Geneviève Boisjoly est d'avis que la réalité peut favoriser un certain profil sociodémographique plutôt qu'un autre. Elle donne comme exemple le métro de Montréal, qui, historiquement, a été développé pour répondre aux besoins des déplacements vers le centre-ville aux heures de pointe, lesquels étaient faits de façon prédominante par des hommes.

« L'écran est fixé sur le tableau de bord, à bout de bras du pilote. Lorsqu'il interagit avec l'écran, ça soulève des enjeux à cause de la vibration de l'appareil. » - Une citation de Philippe Doyon-Poulin, génie industriel, Polytechnique Montréal. Grâce à l'automatisation, plusieurs tâches de vol sont effectuées par l'autopilote. Ici, on pourrait dire que le travail n'est plus tant de piloter que de gérer la mission.

La carte OPUS, qui a sa place dans le portefeuille des Montréalais et des Montréalaises depuis son implantation en 2009, est un outil technologique fascinant, aux dires de Martin Trépanier, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel à Polytechnique Montréal. Il nous parle de la technologie qui se cache derrière les autres titres de transport de la ARTM, alors que plusieurs médias rapportaient récemment des situations problématiques avec la carte OPUS et la nouvelle tarification de la Société des transports de Montréal (STM) et de l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) concernant les fameuses zones A-B-C-D.

Entrevue avec Philippe Doyon-Poulin, professeur au Département de génie industriel à Polytechnique Montréal, à propos de l'automatisation à bord des avions. (25:16) 

L'Ontario n'a pas l'intention de renouveler son contrat d'approvisionnement avec Hydro-Québec, et misera sur le gaz naturel. Entrevue avec Eloïse Edom, associée de recherche à l'Institut de l'énergie Trottier.

Les échanges entre les deux provinces se poursuivront sur le marché de l'électricité et lors d'enchères annuelles. Mais la décision est un peu surprenante, parce qu'on parle tout de même de beaucoup d'énergie, s'étonne la chercheuse Éloïse Edom de l'Institut Trottier de Polytechnique Montréal.

«La pandémie, c'est un message qui dit que notre réseau n'est pas adapté aux déplacements autres que pour le travail », explique Catherine Morency, titulaire de deux chaires de recherche sur la mobilité à Polytechnique Montréal.

Le prix de l'essence continue de faire couler beaucoup d'encre. L'OPEP, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, a laissé entendre qu'une réduction considérable de la production sera amorcée. Le professeur de physique à l'Université de Montréal et directeur de l'Institut de l'énergie Trottier de Polytechnique Montréal, Normand Mousseau, explique l'impact de cette décision sur les consommateurs.

Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal, nous explique comment la technologie peut intervenir pour faciliter la vie des cyclistes, et même, des autres citoyens.