Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, est questionné sur les déclarations du gouvernement de François Legault à être ouvert sur la construction d'un nouvel oléoduc.

Émilie Ruffin, conseillère en équité, diversité et inclusion au Bureau de développement durable et sociétal, souligne que l’intégration efficace de l’EDI repose sur un engagement clair de la haute direction. Il s’agit d’un changement culturel en profondeur qui nécessite de trois à cinq ans pour transformer durablement les comportements et créer une réelle valeur pour l’organisation.

Catherine Morency, professeure titulaire de la Chaire Mobilité, affirme qu'interdire les petits véhicules électriques est contre-productif, car ils augmentent la capacité de transport urbain tout en ayant une faible empreinte carbone.

Carlos Ovalle, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, travaille sur une nouvelle approche de gestion des rejets miniers appelée codéposition. Il propose une solution innovante pour réduire l’impact environnemental des déchets miniers, en misant sur la complémentarité physique de deux types de rejets et en visant une valorisation sécuritaire et durable.

Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, explique qu’une boucle énergétique consiste à connecter localement des entreprises qui produisent de la chaleur excédentaire avec celles qui en ont besoin, ce qui permettrait de réduire l’utilisation des combustibles fossiles, mais il déplore que le faible coût de l’énergie au Québec freine le développement de ces initiatives pourtant prometteuses.

Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, souligne qu’il est essentiel d’apprendre à gérer les risques liés aux batteries au lithium-ion, dont la qualité est souvent incertaine, plutôt que de céder à la peur face à leur utilisation croissante.

Antoine Jacquey,  professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, explique que les sols argileux, très présents dans les zones densément peuplées du Québec, sont difficiles à prévoir et réagissent fortement aux changements climatiques et aux charges excessives, ce qui rend essentiel d’investir dans leur étude pour mieux prévenir les glissements de terrain.

Catherine Morency, professeur titulaire de la Chaire Mobilité, affirme que la congestion routière est causée par la croissance du nombre et de la taille des voitures, et non par les pistes cyclables, qui au contraire réduisent la pression sur le réseau en occupant moins d’espace.

Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, s'interroge sur l'intérêt persistant pour les pipelines alors qu'aucun projet privé n'est en cours, et déplore l'absence de vision claire de Mark Carney pour atteindre les objectifs climatiques du Canada.