Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et cotitulaire de la Chaire industrielle en eau potable, partage son expertise sur les enjeux rencontrés par les usines de production d'eau potable de la Ville de Gatineau en cas d'inondations.
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, et cotitulaire de la Chaire industrielle en eau potable, discute à propos des actions prises par la Ville d'Ottawa suite à l'incident de Chalk River de 1988.
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et cotitulaire de la Chaire industrielle en eau potable, discute à propos des rapports réalisés sur la vulnéravilité des usines de production d'eau potable, par le Centre de recherche, développement et validation des technologies et procédés de traitement des eaux de Polytechnique Montréal.
Benoit Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, partage son expertise sur les résultats qui ont été publiés suite à l'analyse des eaux d'Iqaliut (en anglais).
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, discute à propos de la reprise du dépistage de la COVID-19 dans les eaux usées.
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, discute à propos du projet de recherche en surveillance de la COVID-19 dans les eaux usées qui sera rétabli par le gouvernement du Québec.
Benoit Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal, discute à propos du traitement des eaux usées dans le cadre de la construction de l'usine d'ozonation à Rivière-des-Prairies.
Entrevue avec Sarah Dorner, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines. L’analyse des eaux usées est un outil qu’on gagnerait à utiliser davantage au Québec pour avoir une idée de l’évolution de la pandémie.
La surveillance des eaux usées semble être un outil de vigie utile comme alerte précoce lors de l’augmentation rapide des cas de COVID-19 estime l’INSPQ. Pourtant, le projet auquel collabore la Pre Sarah Dorner a pris fin au début du mois dernier, faute de financement.
« Les eaux usées, c’est comme le deuxième moteur d’un avion. Quand le premier moteur – le dépistage – tombe en panne, les eaux usées deviennent un outil très utile », illustre Sarah Dorner, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines.