La Chaire de recherche industrielle CRSNG en eau potable conseille la municipalité de Drummondville sur les meilleures technologies à adopter pour la nouvelle usine de traitement d’eau, afin d'assurer une eau potable de haute qualité pour les décennies à venir.
Benoît Barbeau, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, explique que les composés perfluorés (PFAS), omniprésents dans de nombreux produits du quotidien, sont très persistants et potentiellement nocifs pour la santé. Il souligne l’urgence d’intervenir par la réglementation, plutôt que de laisser aux citoyens la responsabilité de limiter leur exposition.
Benoît Barbeau, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, souligne que pour réduire efficacement notre exposition aux PFAS présents dans l'eau potable, la solution idéale reste la modernisation des usines de traitement. Mais à domicile, l'utilisation de filtres certifiés constitue une alternative accessible et efficace.
Sarah Dorner, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, estime que pour avoir une eau de meilleure qualité, il est préférable de se concentrer sur la réduction de l'utilisation des pesticides en collaborant avec le milieu agricole, plutôt que d'améliorer le filtrage des usines de traitement de l'eau qui serait plus coûteux.
Benoît Barbeau, cotitulaire de la Chaire industrielle en eau potable et professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, soutient que l'efficacité du filtrage des usines de traitement de l'eau est très variable en fonction des pesticides et des PFAS.
Benoît Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, explique que des usines de traitement des eaux doivent changer fréquemment leurs filtres à charbon actif à cause de la contamination aux polluants éternels.
Benoît Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, cosigne un article dans lequel il explique comment éliminer les « polluants éternels » comme les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées de l'eau potable à son domicile.
Michèle Prévost, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, conseille d’utiliser l’eau froide pour éviter la dissolution du plomb et de maintenir les chauffe-eau à 60 °C pour prévenir les infections.
Benoît Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, cosigne un article dans lequel il explique comment éliminer les « polluants éternels » comme les substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées de l'eau potable à son domicile.
Raymond Desjardins, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines et membre de la Chaire industrielle en eau potable, explique qu'il n'existe pas de risque zéro avec l'utilisation d'infrastructures d'eau, qu'elles soient en bon ou en mauvais état.