Le gouvernement fédéral a annoncé mardi qu’il versera jusqu’à 54 millions $ à un consortium d’entreprises et universités - dont Polytechnique Montréal - pour financer la mise au point des technologies aéronautiques de prochaine génération.  

"Pour respecter l'accord de Paris sur le climat, il faudrait de grands changements au Canada d'ici 2050", propos de Normand Mousseau, directeur de l'Institut de l'énergie Trottier.

La ministre responsable de la région, Dominique Vien, est une alliée convaincue du projet depuis la sortie en septembre de l’étude du professeur Bruno Massicotte sur le sujet.

« L'étude de faisabilité de Bruno Massicotte nous a donné les coûts liés à la construction d'un tunnel. À ces chiffres, nous répondons : quel est le coût à ne pas agir ? Quel est le coût économique qu'on doit subir si la région ne se développe pas ici ? Ce coût économique devra être étudié, analysé, et on devra le déduire du coût de construction du tunnel ou du pont», a soulevé M. Blais, président de la Table régionale des élus municipaux de la Chaudière-Appalaches (TREMCA).

Sureté nucléaire : entrevue avec Guy Marleau, Professeur titulaire au département de génie physique de l'École Polytechnique Montréal (2:17:35).

Mention de Sylvain Martel, Directeur du laboratoire de NanoRobotique de Polytechnique Montréal.

L'ingénieur Bruno Massicotte, professeur au département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal et spécialiste renommé en béton et en structures, croit que les causes ayant mené à l'effondrement du viaduc de la Concorde, en 2006, venaient d'un enchaînement de circonstances.

« Vouloir économiser de l’énergie, c’est louable, mais pas lorsque cela augmente les problèmes de santé dans les hôpitaux », propos de Michèle Prévost, titulaire de la chaire de recherche CRSNG en eau potable à l’École Polytechnique de Montréal.

Pour Mohamed Laddi, finissant en Sciences humaines et président du Magasin du Monde du Cégep de Sorel-Tracy, le plaisir est de faire comprendre aux gens qu’à titre de consommateur, ils peuvent se faire entendre en faisant des choix qui auront un impact certain. « Acheter, c’est voter » a-t-il conclu, reprenant les célèbres paroles de la sociologue, écrivaine et environnementaliste, Laure Waridel.