Une étude réalisée par la Chaire Mobilité en collaboration avec Équiterre, démontre que 25% des déplacements automobiles dans le grand Montréal pourraient être remplacé par l'utilisation d'un vélo électrique.

Nicolas Saunier, professeur au Département des génies civil, géologique et des mines, explique que lors d'une diminution de vitesse sur une route, il faut à la fois changer les panneaux de limite de vitesse tout en réduisant la largeur des voies afin que les automobilistes changent leurs habitudes.

Foutse Khomh, professeur au Département de génie informatique et génie logiciel, parle du potentiel de la technologie et de l'intelligence artificielle à être utilisée pour le bien social.

Catherine Morency, professeure titulaire de la Chaire mobilité, explique que le télétravail est l'une des raisons de la diminution de l'achalandage des routes montréalaises.

Paco Alvarez, étudiant en première année de doctorat en génie mécanique et gagnant du concours national MT180, discute à propos de sa décision à participer à ce concours.

Normand Mousseau, directeur scientifique de l'Institut de l'énergie Trottier, s'exprime sur la différence du prix de l'essence en fonction des régions.

Jason Tavares, professeur titulaire au Département de génie chimique, pourrait bien avoir trouvé le moyen de réduire sensiblement les besoins en pesticides, en modifiant la texture microscopique des «filets d’exclusion» dont on recouvre certaines cultures.

Selon une nouvelle étude de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal et Équiterre, le quart des trajets en voiture pourraient être faits à vélo électrique. Selon Catherine Morency, titulaire de la Chaire et professeure titulaire au Département des génies civil, géologiques et des mines, l’étude illustre aussi la nécessité de construire plus d’infrastructures de stationnement et de recharge pour les vélos électriques, souvent plus lourds et plus chers à acquérir.

Les entreprises québécoises achètent chaque année des dizaines de millions de droits d’émission aux entreprises californiennes. Normand Mousseau, directeur scientifique de l’Institut de l’énergie Trottier, estime que si la tendance des prix et des émissions se maintient, la facture pourrait atteindre le demi-milliard de dollars juste pour cette année.