Montréal – Stimulateur cardiaque. Codes-barres. Flottabilité. Guitares électriques. Jeux vidéo. Les ingénieurs et scientifiques derrière ces inventions ont contribué à changer le quotidien et le bien-être des populations. Du Québec, du Canada ou d’ailleurs dans le monde, ce sont les histoires de ces femmes et de ces hommes de génie que Polytechnique Montréal met en lumière dans sa toute nouvelle baladodiffusion divertissante sur la science et l’ingénierie : Histoires de génie.

« Avec ces Histoires de génie, Polytechnique Montréal, université d’ingénierie francophone de calibre international, veut stimuler l’imaginaire du public et offrir un contenu original qui transcende son mandat principal d’enseignement; un contenu qui inspirera les jeunes et les moins jeunes avec de petites et grandes histoires du monde de l’ingénierie d’hier et d’aujourd’hui », souligne Chantal Cantin, directrice du Service des communications et des relations publiques à Polytechnique Montréal.

Les épisodes de ce balado racontent de courtes histoires entourant les réalisations des ingénieures et ingénieurs du passé et du présent qui façonnent le cours de l’humanité au gré de leurs inventions. Histoires de génie propose ainsi un rendez-vous, deux fois par mois, à un public actif et curieux qui aime apprendre et est à la recherche d’information pour se divertir. En format de 7 à 10 minutes, les capsules de science démystifiée et vulgarisée s’écoutent partout, en tout temps, comme un livre que l’on ouvre et referme à sa guise. Plus besoin de se limiter aux œuvres de fictions pour se faire raconter de bonnes histoires.

Le conseiller en communication et vulgarisateur scientifique de Polytechnique Montréal, Martin Primeau, en est l’animateur et le réalisateur. Titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire, il a travaillé pendant plus de 9 ans à titre de journaliste scientifique entre autres pour La Presse, La Terre de Chez nous et l’émission de télévision Le Code Chastenay. « Je me sens particulièrement privilégié qu’on m’ait confié ce projet. Au cours des années, j’ai pu apprécier comme scientifique, puis journaliste, la façon dont les ingénieurs ont transformé et transforment toujours notre société, et c’est une véritable chance qu’on m’offre de raconter ces histoires. »

Popularité confirmée

L’intérêt pour la baladodiffusion se confirme d’année en année. C’est d’ailleurs ce que révèlent plusieurs enquêtes pancanadiennes réalisées par l’Observateur des technologies médias (OTM) depuis 2019. En effet, selon les données recueillies, la popularité de l’écoute de balados ne cesse de croître particulièrement auprès de la population étudiante (39 %) et des 18-34 ans (48 %). On apprend aussi qu’un francophone sur six écoute régulièrement des balados et que plus d’un adulte sur cinq en écoute de façon hebdomadaire.

Ces données appuient d’autant la décision de Polytechnique Montréal de faire le virage vers la baladodiffusion afin de rejoindre un auditoire fréquemment en mode multitâches, qui consomme de nombreux contenus souvent gratuits, sur demande et accessibles grâce aux appareils mobiles. 

Détails

Les contenus d’Histoires de génie sont disponibles sur le site web de Polytechnique et sur de nombreuses plateformes de baladodiffusion, soit Apple, Google et Spotify.

Depuis mai dernier, Polytechnique propose aussi le blogue de vulgarisation scientifique Le labo 2500, également produit par Martin Primeau, où l’on traite d’innovations développées par des chercheuses et des chercheurs à Polytechnique.

À propos de Polytechnique Montréal

Fondée en 1873, Polytechnique Montréal, université d’ingénierie, est l’une des plus importantes universités d’enseignement et de recherche en génie au Canada. Polytechnique Montréal est située sur le campus de l’Université de Montréal, le plus grand complexe universitaire francophone en Amérique. Avec plus de 54 700 diplômés, Polytechnique a formé plus de 22 % des ingénieurs en exercice membres de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ). Elle propose plus de 120 programmes de formation. Polytechnique compte 294 professeurs et plus de 9 500 étudiantes et étudiants (hiver 2021). Son budget annuel global s’élève à 275 millions de dollars, incluant un budget de recherche de près de 105 millions de dollars.