Le mazout est nettement plus polluant que le gaz naturel et l'hydroélectricité, souligne Normand Mousseau, directeur académique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET).
Mentions de Dominique Maxime, associé de recherche au Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services [CIRAIG] et de Normand Mousseau, directeur académique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET).
Il est difficile de dire s'il vaut mieux choisir un aliment bio d'ailleurs ou un aliment non bio d'ici, selon Dominique Maxime, associé de recherche au CIRAIG. Normand Mousseau, directeur académique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET) penche plutôt pour les aliments locaux.
Normand Mousseau, directeur académique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET), a souligné que le Québec et toutes les provinces canadiennes n'atteindront pas leurs objectifs de réduction des gaz à effet de serre.
Selon l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, le gaz naturel émet 40 % moins de CO2 que le charbon et 19 % moins de CO2 que l'essence. Toutefois, ce gain se perd presque complètement lorsqu'on tient compte des émissions fugitives de méthane, souligne Normand Mousseau, directeur accadémique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET).
La conversion au gaz naturel n’est pas une bonne solution pour lutter contre les changements climatiques dans un contexte de surplus d’énergie renouvelable, estime Normand Mousseau, directeur académique de l’Institut de l’énergie Trottier (IET).