11 novembre 2019, La Presse
Concernant l'idée de taxer les automobilistes selon les kilomètres parcourus, plutôt qu'à la pompe Catherine Morency, titulaire de la Chaire Mobilité et professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal assure que : « la mise en place de certaines solutions n'est pas encore chiffrée. Mais ces deux méthodes (quadriller les routes de caméras aptes à lire les plaques d'immatriculation et prévoir la présence de transpondeur) sont réalistes et faisables ».