L'expertise de Jean-François Bruneau, membre de la Chaire de recherche Mobilité de Polytechnique Montréal, sur le projet de réforme du Code de la sécurité routière.
La seule technologie que Québec rejette est le TGV (train à grande vitesse). Un choix que ne comprend pas Pierre-Léo Bourbonnais, chercheur associé à la chaire Mobilité de Polytechnique Montréal. « Il n’existe pas beaucoup de moyens de transport qui ont fait leurs preuves, dont on maîtrise bien la conception et dont on connaît les impacts », estime M. Bourbonnais.
Code de la rue : entrevue de Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal (4:33).
Catherine Morency, professeure titulaire de la Chaire Mobilité et de la Chaire de recherche du Canada sur la Mobilité des personnes à Polytechnique Montréal et son collègue Jean-François Bruneau, aussi de Polytechnique, ont produit un vaste étude à la demande du ministère des Transports du Québec (MTQ), qui instaurerait un code de la rue au Québec.
Mention de Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal, experte en mobilité et membre du comité de la Ville de Québec.
Être propriétaire d'une automobile en 2067, c'est dépassé, estime Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines à Polytechnique Montréal. « La société a compris que c'était un fardeau », affirme-t-elle.
" Le vélo électrique démocratise la pratique ". Citation de Jean-François Bruneau de la Chaire de recherche en mobilité de Polytechnique Montréal. Selon lui, cela donne une chance à ceux qui ont une moins bonne condition physique ou qui sont affaiblis par une maladie de pouvoir " mettre le nez dehors ".
Polytechnique Montréal, la professeure Catherine Morency, titulaire de la Chaire de recherche Mobilité du Département des génies civil, géologique et des mines, estime que l'électrification des transports est l'arbre qui cache la forêt. «Utiliser des énergies renouvelables pour se mouvoir, cela ne réglera pas le problème. On ne veut pas que les gens changent d'auto, on veut qu'ils changent de comportement.»
Au total, près de 4500 taxis sillonnent les rues de la métropole. Y a-t-il trop de véhicules pour la demande, ou pas assez ? C'est une des questions que tentera d'élucider l'équipe de Polytechnique dirigée par Catherine Morency, qui dirige notamment la chaire de recherche Mobilité. « J'ai trouvé ça bizarre de constater qu'il n'existe aucune planification de l'offre, dit-elle, mais avec notre travail, tout ça pourra changer à terme. »