Le projet de ligne rose ne sort pas d'une boîte à surprises. Pierre-Léo Bourbonnais, associé de recherche et chargé de cours à Polytechnique Montréal, titulaire d'une maîtrise et d'un doctorat en
génie civil – transport, qui a collaboré à la conception de la ligne rose, soulignait en entrevue les effets bénéfiques importants, surtout pour désengorger la ligne orange.
La voiture électrique ne serait pas la solution miracle : entrevue de Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal.
Plus on ajoute de routes, plus il y aura de voitures : les explications de Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal (1:19).
Selon Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, pour les individus, remplacer son auto à essence par une auto électrique n'est pas un geste vert.
Est-ce que les technologies faciliteront la mobilité? Ou apporteront-elles leur lot de problèmes? Aucune technologie n’entraînera un miracle et la solution se trouve dans une offre diversifiée, croit la titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal, Catherine Morency. Métro lui a parlé, peu avant la présentation de recherches menées à l’école de génie, dans le cadre d’un rendez-vous sur la mobilité à la Grande Bibliothèque.
Selon le professeur Nicolas Saunier, de la Chaire de recherche Mobilité de la Polytechnique Montréal, il est probable que le trafic augmente dans ce secteur, mais l’amplitude est difficile à définir.
Entrevue de Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et titulaire de la Chaire mobilité de Polytechnique Montréal (0:41).
Dans cet article publié dans le portail du média « Novae », Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et titulaire de la Chaire mobilité de Polytechnique Montréal, discute des taxis électriques et de l'électrification des transports.
Pour Pierre-Léo Bourbonnais, chercheur associé à la chaire Mobilité de Polytechnique Montréal, le monorail qui filerait à une vitesse de 250 km/h ne pourrait suivre les courbes des autoroutes 20 ou 40 selon les trbacés envisagés par les promoteurs de façon assez sécuritaire pour les passagers.