Depuis le printemps dernier, des ingénieurs de Polytechnique Montréal, dont Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, et de McGill suivent la progression de la COVID-19 en analysant la quantité de virus dans les eaux usées de Montréal. Ils veulent maintenant décerner plus rapidement les variants préoccupants.
Dans cet article, Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, discute à propos d’une analyse d’échantillons d’eaux usées récoltés depuis le début de 2020 dans divers points de collecte à Montréal pour y mesurer la présence de la COVID-19.
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, fait partie du trio de chercheurs qui militent depuis le printemps pour que les autorités publiques financent leur chasse inusitée. Avec l'arrivée de fonds, les chercheurs ont donc pu entreprendre l'analyse des échantillons qui s'accumulaient dans les congélateurs.
Dans cet article, Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, discute des problèmes de ventilation dans les écoles au Québec.
Mercredi 11 novembre prochain, Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, sera l'une des animatrices de la table ronde sur la sécurité des ressources économiques, alimentaires et en eau potable selon une perspective économique, sociologique et écologique.
Dans cet article, Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, discute d’un projet d’analyse des eaux usées à Montréal afin de suivre l’évolution de la pandémie de la COVID-19.
Sarah Dorner, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal, accumule les échantillons de la principale station d'épuration de Montréal depuis la fin février pour les comparer avec d'autres indicateurs de la progression de la pandémie.