27 octobre 2019, Agence Science Presse
Au Québec et ailleurs, différentes statistiques ont suggéré ces dernières années que l’achat d’un nouveau véhicule montrait des signes de ralentissement. L’autopartage pourrait-il être un facteur? Martin Trépanier, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, avait publié une étude en 2014 pour la ville de Montréal. « Notre étude indiquait que 90 % des usagers de 2010 avaient soit vendu leur voiture, retardé leur achat ou tout simplement annulé leur achat de véhicule ». Même si l’étude date un peu, le chercheur ne croit pas que les chiffres soient bien différents aujourd’hui.