CLÉO DELÊTRE
Étudiante au baccalauréat en génie aérospatial
« Je fonce pour les sciences parce qu’elles me permettent de comprendre les lois immuables de l’univers. »
« J’ai choisi de continuer mes études dans le domaine du génie aérospatial après avoir visionné le décollage de plusieurs fusées, tel que celui de l’équipage du Crew Dragon Demo-2 de SpaceX en juin 2020. Ces heures de visionnage m’ont fait comprendre que la meilleure façon d’unir ma passion pour les mathématiques et la physique à mon amour pour l’espace était d’étudier en aérospatiale. Polytechnique Montréal offre la meilleure formation francophone dans ce domaine au Canada. De plus, les opportunités sont multiples : sociétés techniques, stages, doubles diplômes, échanges à l’international, etc. Je m’assurais d’y trouver mon bonheur. D’ailleurs, dès le début de l’année, je me suis jointe à Oronos, une équipe multidisciplinaire dont l’objectif principal est de concevoir, fabriquer et exploiter des fusées haute puissance afin de représenter Polytechnique Montréal annuellement à la Spaceport America Cup (SA Cup), au Nouveau-Mexique¹. C’est une expérience enrichissante qui me permet d’en apprendre davantage sur la conception de fusées.
J’aspire à travailler dans ce domaine à la fin de mes études. J’aimerais participer à la conception de fusées qui permettront l’exploration spatiale. Il a été possible d’observer que les diverses explorations de l’homme ont mené à un changement dans ce monde améliorant à la fois notre qualité et notre espérance de vie.
Mon conseil pour moi-même (à 16 ans) : Crois en ton potentiel et mets tous les efforts possibles pour réaliser tes rêves, même ceux qui te semblent impossibles. »
1. oronospolytechnique.com
« Sur cette photo, j’étudie au 6e étage du pavillon Lassonde. Depuis mon arrivée, j’ai toujours aimé cet endroit. Entre la couleur des murs et les grandes fenêtres, c’est un endroit magnifique pour venir étudier entre deux cours! »
ISABELLE FAVRETTI
Étudiante à la maîtrise en génie aérospatial
« Je fonce pour les sciences parce que c’est le moyen que j’ai choisi pour améliorer le quotidien de notre société actuelle et des générations futures. »
« Les sciences du génie, ça n’a jamais été une vocation ni même un plan de carrière. Ça a été une découverte! Je me souviens encore de ma dernière année de cégep, je me posais plein de questions, je ne savais pas quel programme universitaire choisir. Depuis mon secondaire, les sciences avaient toujours été le choix par défaut et je ne m’étais pas vraiment questionnée sur mes champs d’intérêt et le métier que je voulais faire plus tard.
Plusieurs de mes amis souhaitaient aller en mathématiques et en physique, je les ai donc suivis aux journées portes ouvertes. J’ai posé quelques questions sur les programmes et les perspectives d’emplois, mais l’aspect très théorique de ces domaines me rejoignait moins. Une navette parcourait le campus et permettait d’aller directement à Polytechnique Montréal, alors je me suis dit : pourquoi pas? C’est là que tout a commencé. En entrant dans le pavillon Lassonde, j’ai découvert un monde coloré, dynamique et riche de possibilités. Les étudiants étaient passionnés et les kiosques d’information, interactifs. Je suis tombée sous le charme de Polytechnique et c’est le seul établissement où j’ai fait parvenir mon dossier. Je venais de découvrir la profession d’ingénieure!
Pour ce qui est du choix de programme, j’ai opté, dans le doute, pour celui qui me semblait le plus général : le génie mécanique. Au final, c’est le génie aérospatial que j’ai choisi, par curiosité et pour repousser mes limites! Même si je ne connaissais pratiquement rien aux avions, j’ai adoré la formation. Cela dit, c’est vraiment le milieu de vie d’une qualité incomparable et bouillant d’initiatives étudiantes qui m’a fait vibrer. Je dis souvent aux futurs étudiants que Polytechnique est un endroit où tout est possible, où chaque projet peut voir le jour!
J’ai tellement aimé mon expérience que j’ai décidé de poursuivre mes études à la maîtrise recherche en génie aérospatial. Je travaille actuellement à améliorer les performances des moteurs d’avions civils à l’aide de la simulation numérique! Mes études me permettent de faire de la programmation au quotidien, un autre domaine d’intérêt développé à Polytechnique! »
« Je travaille sur ma maîtrise de la maison! En ce moment, je lance plusieurs simulations numériques et j’en analyse les résultats en programmant des routines de post-traitement. Cela me permet d’obtenir des figures et des graphiques que je peux interpréter et comparer facilement.. »
Victoria Butin
Étudiante au baccalauréat en génie aérospatial
« Je fonce pour les sciences parce je souhaite contribuer au développement des avions de demain au sein d’une équipe passionnée. »
« J’ai trouvé ma vocation à l’âge de 15 ans, lorsque j’ai commencé à m’intéresser à l’aviation, puis à suivre des cours de pilotage d’avion pour obtenir ma licence de pilote privé. C’est à la lecture d’un article relatant la carrière extraordinaire d’une des rares femmes pilotes d’essai à Bombardier, soit Carole Pilon, diplômée de Polytechnique Montréal en génie mécanique, que j’ai découvert l’École et ses opportunités de parcours.
Je suis donc entrée au baccalauréat en génie aérospatial, où je pouvais enfin étudier le domaine qui me passionnait. Je me suis d’abord impliquée dans la société technique Avion Cargo, qui construit un modèle réduit d’avion en vue d’aller affronter d’autres universités aux États-Unis. Puis j’ai rencontré d’autres mordus d’aviation, avec qui j’ai cofondé le comité étudiant PolyAir, dont j’ai été la présidente durant 3 ans. Ce dernier a pour but de réunir tous les passionnés, tout en leur faisant découvrir les différents aspects du monde aérien (aviation civile, drones, planeurs, hydravions…) au travers d’activités de découverte, visites, conférences, cours de pilotage, etc.
J’ai réalisé mon premier stage sur la chaîne d’assemblage de Bombardier, durant la transition avec Airbus, et c’était impressionnant de visualiser les différentes étapes qui aboutissent à la construction d’un avion civil.Mon deuxième stage fut réalisé à Polytechnique Montréal dans un laboratoire de recherche qui collabore avec le motoriste Safran.
Mon rêve serait de travailler dans les essais en vol d’avions, pour allier mes habilités d’ingénierie et de pilotage, tout en ayant des journées dynamiques qui ne se ressemblent pas. »
« Je suis arrivée en août 2019 à Toulouse dans le but de réaliser un double diplôme à l’ISAE-SUPAERO, pour me spécialiser dans les essais en vol. Cette photo a été prise à côté de Toulouse, dans la magnifique cité fortifiée de Carcassonne! J’adore voyager et découvrir de nouveaux endroits. »
ilona nombalais
Étudiante au baccalauréat en génie aérospatial
« Je fonce pour les sciences parce que j’aime apprendre et comprendre le fonctionnement de tout, je veux comprendre et améliorer le monde de demain. »
« Ce qui m’a tout d’abord intéressée est l’ingénierie, j’ai toujours beaucoup aimé les mathématiques, la physique et la chimie. Ma passion pour l’aérospatiale m’est venue en regardant de nombreux reportages sur l’astronaute français Thomas Pesquet. En déménageant à Montréal, je cherchais une université d’ingénierie avec un domaine aérospatial et avec autant de pratique que de théorie. Je me suis orientée vers Polytechnique parce qu’elle répond totalement à ces critères et est reconnue à l’international. J’ai aussi eu un vrai coup de cœur lors de ma visite aux portes ouvertes.
À la suite de ma première année, je me suis vraiment attachée à la vie étudiante très dynamique; d’une part par le grand nombre de sociétés techniques et comités qui la composent et d’autre part par l’ouverture des professeurs et du personnel, toujours très accessibles.
Dès ma deuxième session à Polytechnique, je me suis investie dans PolyOrbite, une société technique qui développe un CubeSat (nanosatellite), et Elikos, qui réalise un drone et participe à des compétitions. Je me suis aussi engagée dans les Associations étudiantes d’aérospatiale à Montréal (MSSA), qui organisent le Symposium spatial de Montréal, deux jours de conférences dans ce domaine.
Une réalisation dont je suis fière est la construction d’un drone dans le cadre du projet intégrateur 1, dès ma 2e session. Dans le cadre d’un cours de mon programme, nous avons aussi eu la chance de coder notre propre site web en groupe!
Si tu hésites encore à foncer dans une carrière d’ingénierie, sache que Polytechnique t’ouvre de nombreuses portes et opportunités que tu n’aurais jamais pu imaginer. Tu auras l’occasion de participer à des projets d’envergure et, pourquoi pas, d’en lancer un toi aussi! De l’ingénierie au marketing en passant par les relations publiques, à Polytechnique, il n’y a pas de limite pour t’investir et découvrir ce qui te passionne réellement. Alors, viens te joindre à la communauté polytechnicienne, tu ne seras pas déçue! »
« Cette photo me représente en train de réaliser un travail pratique lors d’un cours de méthodes expérimentales. Nous cherchons à calculer la vitesse d’un moteur (en jaune sur l’image), c’est pourquoi nous avons réalisé un circuit électrique qui est connecté avec un logiciel de l’ordinateur. Ceci représente vraiment les études d’ingénierie et les travaux pratiques que nous avons l’occasion de réaliser tout au long de notre cursus et qui nous permettent de faire du concret! »
Florence Longpré
Étudiante au baccalauréat en génie aérospatial
« Je fonce pour les sciences parce que j’y trouve l’occasion de me dépasser et d’innover. »
« Nouvelle à la Polytechnique, je décolle pour ma première année en génie aérospatial. Les sciences m’ont toujours passionnée, tant au secondaire qu’au cégep. Ce grand intérêt pour les sciences m’a naturellement menée vers le génie lorsque j’effectuais des recherches pour mon avenir.
Mais qu’est-ce que ça fait un ingénieur, au juste? C’est après être allée aux portes ouvertes de Polytechnique Montréal que j’ai compris ce qu’un ingénieur pouvait accomplir et que j’ai décidé de m’inscrire en génie aérospatial. Premièrement, mon attirance pour les mathématiques et la physique a certainement influencé mon choix, en plus du désir de me dépasser sur le plan personnel. Par ailleurs, ce programme est très polyvalent en raison de la quantité de domaines d’expertise dans lesquels on peut se spécialiser. Il est possible de travailler à la conceptualisation et à la construction de fusées, d’avions ou de tout autre type d’objets volants.
Finalement, j’ai atterri à la Polytechnique parce que sa formation est reconnue internationalement, mais également parce que sa vie étudiante déborde d’activités aussi diversifiées que les gens qui y étudient. Je souhaite éventuellement faire une maîtrise pour enseigner la physique au cégep, afin de pouvoir transmettre ma passion des sciences à d’autres jeunes. Faire une escale par le génie pour ensuite me diriger vers l’enseignement me permettra assurément de donner des exemples concrets à mes futurs élèves. J’espère aussi inciter les jeunes filles qui hésiteraient à aller dans un domaine comme le génie à se lancer sans aucune crainte. »
« Je suis en train d’étudier avec des amis au premier étage des pavillons Lassonde. J’aime bien cet endroit, car j’ai presque l’impression d’être dans la nature avec la lumière qui entre dans la pièce. C’est une place vivante, mais propice à la concentration et au travail d’équipe. »