Discussion autour d’un rapport d’Équiterre réalisé en collaboration avec la Chaire Mobilité

Catherine Morency, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et titulaire de la Chaire Mobilité, discute à propos des opportunités que représente l’arrivée du REM en matière de choix de mobilité de citoyens.

Catherine Morency, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, commente le livre blanc déposé par le Conseil régional de l’environnement de Montréal

Benoit Barbeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines et co-titulaire de la Chaire industrielle en eau potable, discute à propos des contaminants présents dans l'eau du robinet dans deux municipalités, Saint-Donat, dans Lanaudière, et Val-d'Or, en Abitibi, qui affichent, des concentrations préoccupantes.

Nicolas Saunier, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, discute à propos du classement de Montréal au 80e rang des villes les plus congestionnées (à 0:54).

Nicolas Saunier, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines, discute à propos du classement de Montréal dans le récent "Bulletin mondial de la circulation".

Une équipe de Polytechnique Montréal, menée par Dominique Claveau-Mallet, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, vient d'évaluer des filtres pour retenir les microplastiques lors de la lessive. Les chercheurs ont ainsi pu estimer à 16 grammes par ménage la quantité annuelle de microplastiques récupérée grâce au filtre.

Dominique Claveau-Mallet, professeure au Département des génies civil, géologique et des mines, discute de l'étude intégrant une participation citoyenne au sujet de la présence de microparticules de plastique dans les eaux rejetées par les laveuses. Cette étude a été réalisée par une équipe multidisciplinaire de Polytechnique en collaboration avec l'organisme GRAME (extrait à 42:10).

Environ treize tonnes de microplastiques pourraient être détournées du réseau des eaux usées de Montréal si les eaux rejetées par les laveuses étaient filtrées. Ce sont des chercheurs de Polytechniques Montréal qui en sont venus à l'estimation au terme d'une étude avec participation citoyenne qui a été initiée par le Groupe de recommandations et d'actions pour un meilleur environnement (GRAME).