Le Programme de renforcement de la gouvernance du secteur extractif dans la région de l’UEMOA est un des projets soutenus par l’Institut Canadien International des Ressources et du Développement (ICIRD), financé par le Ministère des Affaires Étrangères, Commerce et Développement (MAECD) du Gouvernement du Canada. Ce Programme a été mis en œuvre par l’École Polytechnique de Montréal (EPM) qui est l'une de trois universités membres du consortium de l'ICIRD, avec l’Université de Colombie-Britannique (UBC) et l’Université Simon Fraser (SFU).
Le Programme s’inscrit dans le cadre du mandat de l'ICIRD qui consiste à renforcer la gouvernance du secteur extractif en appuyant les gouvernements des pays en développement afin d’optimiser la contribution du secteur à la croissance économique durable et à la réduction de la pauvreté. Il vise donc principalement à appuyer les gouvernements (centraux, régionaux et locaux). Il peut aussi soutenir des actions relatives au renforcement des autres acteurs dans une approche systémique et globale. Le Programme retient une approche de développement durable et de réduction de la pauvreté.
Le Programme a été élaboré sur la base de consultations avec les représentants des pays ciblés et des résultats d’une mission de planification menée en mai 2014 au Sénégal et au Burkina Faso. Il répond aux demandes de collaboration formulées par les dirigeants des pays ciblés et celles des représentants de l’UEMOA qui ont invité l’ICIRD/EPM à présenter une proposition de Programme.
Les activités ont débutées en septembre 2013 et le programme est d’une durée de 5 ans. Pour des informations supplémentaires contacter M. Ghislain Rivard, Conseiller sénior et gestionnaire du projet.
Le projet de « Technologie solaire appliquée pour les pays de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africain (UÉMOA) » (2013-2018), cofinancé par le gouvernement canadien (MAECD / ADCI) et Polytechnique Montréal, fait suite au projet Technologie solaire appliquée au Burkina Faso réalisé dans le cadre du Programme des Partenariats Universitaires pour la Coopération et le Développement entre 2005 et 2011. Ce second projet mettra en place un Institut de Formation en Technologie Solaire Appliquée basé à Ouagadougou et desservant l’ensemble des pays de l’UÉMOA. À maturité, l’Institut accueillera plus de trois cent trente étudiants. Vingt ingénieurs et cent techniciens spécialisés en technologie solaire obtiendront leur diplôme annuellement. Cette main-d’œuvre spécialisée appuiera la mise en œuvre de l’Initiative Régionale en Énergie Durable adoptée par les pays de l’UEMOA pour accroître la disponibilité d’énergie électrique dans la région. Cette initiative reconnait d’ailleurs l’importance de l’énergie solaire comme pilier de croissance économique et de réduction de la pauvreté dans la région. Elle souligne également le déficit en ressources humaines compétentes pour la mener à bien.
Le projet, d’une durée de 5 ans et démarré en 2013, est mis en œuvre par Polytechnique Montréal et ses partenaires, à savoir : l’Institut de Recherche en Sciences Appliquées et Technologie (IRSAT) et l’Université de Ouagadougou du Burkina Faso; l’École Polytechnique de Thiès au Sénégal et l’École Nationale d’ingénieurs Abderrahmane Baba Touré au Mali. L’équipe du projet est dirigée par le professeur Oumarou Savadogo du Département de Génie chimique et le Bureau des Relations Internationales en assure la coordination. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior et gestionnaire du projet.
En collaboration avec la Banque Mondiale et le Département du développement international du Royaume-Uni, ce programme vise à améliorer la bonne gouvernance du secteur minier et augmenter la contribution à la croissance économique et au développement durable en République Démocratique du Congo. Le mandat de Polytechnique Montréal, réalisé en 2014-2015, a pour objectif d’analyser les programmes d’enseignement supérieur et universitaire en lien avec le secteur minier en République Démocratique du Congo en vue de proposer des programmes susceptibles de former des cadres à même de satisfaire non seulement les entreprises minières mais également la communauté nationale. Les programmes de génie suivants de l’Université de Lubumbashi ont été inventoriés et analysés : mines, géologie, électrique, électromécanique, métallurgie, environnement, matériaux, civil, chimie industrielle. Les professeurs Richard Simon, Oumarou Savadogo et Robert Legros de Polytechnique Montréal ont notamment été impliqués dans la réalisation de ce mandat. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Cette initiative de trois institutions partenaires du Réseau d’excellence des sciences de I ’ingénieur de la Francophonie (RESCIF), soit Polytechnique Montréal, l’école Polytechnique Fédérale de Lausanne et l’École Nationale Supérieure Polytechnique de l’Université Yaoundé 1, vise à renforcer les systèmes de santé primaires par un approvisionnement électrique fiable. Ce projet inclus la création d’un centre de compétence national (Cameroun) et international. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Cette initiative de trois institutions partenaires du Réseau d’excellence des sciences de I ’ingénieur de la Francophonie (RESCIF), soit Polytechnique Montréal, l’école Polytechnique Fédérale de Lausanne et l’École Nationale Supérieure Polytechnique de l’Université Yaoundé 1, vise à renforcer les systèmes de santé primaires par un approvisionnement électrique fiable. Ce projet inclus la création d’un centre de compétence national (Cameroun) et international. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
IN ENGLISH ONLY | The proposed research addresses the first IDRC's program named Agriculture and the environment more specifically its two CAREG research priorities: (1) Agriculture and Food Security and (2) CC and Water Change. The main objective of this proposal is to determine expected future changes in domestic water use in Southern Africa. The targeted specific objectives are: (1) selection of existing climate change models for predicting surface water resources (SWR) and their uncertainties for future period 2020-20-79, (2) selection of models to determine the SWR impact on agriculture for a food security, (3) selection of end-use model to determine the SWR impact on household water use, and (4) application of a few case studies. The final result will be the development of an action plan to contribute to the better management of available water resources and to securing urban agricultural production. A strategy for gender equality will be clearly explained in the action plan so that the project is able to implement measures mitigating the impacts potentially negative on women. This plan will also help to reduce the factors emerging from diseases linked to water. Training of some actors and agents of local development will be organized at the end of the project.
Le professeur Musandji Fuamba de Polytechnique Montréal est notamment impliqué dans la réalisation de ce projet. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Ce projet d’appui à la mise en place de l’École des Mines de Mauritanie (incluant deux programmes de génie et un programme de technicien supérieur), prévu être d’une durée de 5 ans (2011-2016), comporte quatre composantes : a) Développement du curriculum et préparation du contenu pédagogique; b) Renforcement des capacités des professeurs et professeurs-technologues; c) Appui à la conception des bâtiments et l’acquisition de l’équipement et d) Appui à la mise en place des systèmes académiques et administratifs. Polytechnique Montréal est impliqué à titre de partenaire technique principal et réalise ce projet en partenariat avec l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et le Collège d’enseignement général et professionnel de l’Abitibi-Témiscamingue. Les professeurs Richard Simon et Michel Gamache de Polytechnique Montréal ont notamment été impliqués dans ce projet. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Ce projet d’appui à la mise en place de l’École des Mines de Mauritanie (incluant deux programmes de génie et un programme de technicien supérieur), prévu être d’une durée de 5 ans (2011-2016), comporte quatre composantes : a) Développement du curriculum et préparation du contenu pédagogique; b) Renforcement des capacités des professeurs et professeurs-technologues; c) Appui à la conception des bâtiments et l’acquisition de l’équipement et d) Appui à la mise en place des systèmes académiques et administratifs. Polytechnique Montréal est impliqué à titre de partenaire technique principal et réalise ce projet en partenariat avec l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et le Collège d’enseignement général et professionnel de l’Abitibi-Témiscamingue. Les professeurs Richard Simon et Michel Gamache de Polytechnique Montréal ont notamment été impliqués dans ce projet. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Cette collaboration Nord-Sud vise à contribuer à la gestion rationnelle et durable des ressources en eau dans la région du delta du Mékong, en engageant des actions de recherche, de formation et de transferts. Outre Polytechnique Montréal, trois autres partenaires du Réseau d’excellence des sciences de I ’ingénieur de la Francophonie (RESCIF) constituent l’équipe de projet, à savoir l’Institut Polytechnique Ho Chi Minh Ville (Vietnam), Grenoble INP (France) et l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (Suisse). À ce jour, création du centre de recherche CARE à HCMV ; mise en place de projets de recherche ; d’un programme d’échanges internationaux, autour des thèmes essentielles de la ressource en eau. Réalisation d’un colloque au centre de recherche CARE au Vietnam dans le cadre des Entretiens Jacques-Cartier 2014 sur le thème « L’eau en partage ». Le Professeur Guy Leclerc de Polytechnique Montréal s’est impliqué dans la réalisation de ce projet. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
Expertise conseil et appui institutionnel à l’OFNAC, notamment en matière de sécurité informatique et de sureté aéroportuaire. Le professeur José Fernandez est impliqué dans la réalisation de ce mandat, dont il est à l’origine. Pour obtenir des informations supplémentaires, contacter Mme Guylaine Larocque, Conseillère sénior.
