« Vouloir économiser de l’énergie, c’est louable, mais pas lorsque cela augmente les problèmes de santé dans les hôpitaux », propos de Michèle Prévost, titulaire de la chaire de recherche CRSNG en eau potable à l’École Polytechnique de Montréal.

Pour Mohamed Laddi, finissant en Sciences humaines et président du Magasin du Monde du Cégep de Sorel-Tracy, le plaisir est de faire comprendre aux gens qu’à titre de consommateur, ils peuvent se faire entendre en faisant des choix qui auront un impact certain. « Acheter, c’est voter » a-t-il conclu, reprenant les célèbres paroles de la sociologue, écrivaine et environnementaliste, Laure Waridel.  

Le ministère des Transports a mis une douzaine de jours pour répondre, en deux temps, aux questions du Journal dans la foulée du dévoilement de l’étude du professeur Bruno Massicotte qui évalue à 4 milliards $ la construction d’un tunnel sous-fluvial.

Le Professeur Sylvain Martel a mis au point, avec son équipe, des agents nano-robotiques capables de circuler dans les vaisseaux sanguins et de délivrer directement des doses de médicaments dans une tumeur.

Entrevue avec le Professeur Sylvain Martel, Directeur du laboratoire de NanoRobotique de Polytechnique Montréal.

Selon une nouvelle étude dirigée par la professeure Michèle Prévost de Polytechnique Montréal, les échangeurs thermiques installés dans un hôpital dans le but d'économiser de l'énergie ont favorisé la prolifération de la Legionella pneumophila (Lp).

Le professeur Bruno Massicotte, de l’École Polytechnique, mandaté par le MTQ, a récemment dévoilé son rapport consacré exclusivement à la faisabilité et aux coûts d’un tunnel sous-fluvial évalué à 4 milliards $.

Mention de Laure Waridel, directrice du Centre interdisciplinaire de recherche en opérationnalisation du développement durable.

«À 4 milliards $ et plus, tout le monde, on est resté un peu sur notre appétit», a lancé M. Lessard, en référence au coût de construction estimé par le professeur Bruno Massicotte, de Polytechnique Montréal.