24 avril 2019, Le Devoir
Selon une nouvelle étude, les émissions de gaz à effet de serre imputables à l'exploitation des sables bitumineux canadiens seraient 30 % plus élevées que ce qui est actuellement calculé. Normand Mousseau, directeur académique de l'Institut de l'énergie Trottier (IET), pense que les nouvelles données sont effectivement plus fiables, même si l'origine de la différence entre les deux approches
est mal comprise. « Les mesures aériennes ont tendance à produire des chiffres beaucoup plus élevés, mais on ne sait pas trop d'où vient la différence », dit-il.