29 juin 2020, Le Devoir
La canicule et la hausse du télétravail causée par la pandémie sont montrées du doigt pour expliquer la forte consommation d’eau du secteur résidentiel. Michèle Prévost, professeure titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnique Montréal et titulaire de la Chaire industrielle CRSNG en eau potable (CICEP), indique que la cuisine, les douches, le lavage de vaisselle et, surtout, l’arrosage des potagers et des pelouses ainsi que le nettoyage des autos et des stationnements ont fait grimper la consommation en eau potable.