6 décembre 2018, Radio-Canada
Des spécialistes, à l'instar d'Yves Comeau, professeur titulaire au Département des génies civil, géologique et des mines de Polytechnqiue Montréal, font remarquer que, dans le contexte actuel, il aurait été plus efficace de construire un système de traitement biologique secondaire avant de mettre sur pied une usine d'ozonation qui constitue un traitement tertiaire.