Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, est l'un des cosignataires de cette lettre d'opinion.
Salle de presse
20 octobre 2020, Institut de recherche en politiques publiques
Dans ce texte d'opinion, Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, traite de la prise en compte de conséquences à long terme lors de l'évaluation des projets d'infrastructure au Québec.
Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, avait estimé, lors d'un symposium organisé par la Chaire en fiscalité, que le moment semblait délicat, en pleine crise, « pour faire des changements de définition dans une loi aussi fondamentale que celle sur l'équilibre budgétaire ».
Dans cet article. Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, commente le souhait du gouvernement du Québec d’amorcer une réflexion sur la méthode de calcul du solde budgétaire.
Selon Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, « Ça implique de changer de modèle d’affaires en se sortant de la tête l’idée que la croissance économique va de pair avec l’augmentation de la quantité de ressources extraites ou produites. »
Pendant des années, le Québec s'est assis sur ses lauriers, et peu de choses ont été mises en place pour développer l'éolien et le solaire par exemple, indique Marcelin Joanis, vice-président à la recherche au CIRANO et professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal.
Marcelin Joanis, professeur titulaire au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal, pense qu'il faut préserver les principes de fonctionnement du programme de péréquation, « mais plus largement, certainement on y gagnerait avec une réflexion nationale sur le sujet ».
Est-ce que la richesse de l'Alberta contribue à une plus forte péréquation pour le Québec? Marcelin Joanis, professeur agrégé au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal explique la situation.
Un texte de Nathalie de Marcellis-Warin, présidente-directrice générale du CIRANO, et de Marcelin Joanis, vice-président à la recherche du CIRANO, tous deux également professeurs au Département de mathématiques et de génie industriel de Polytechnique Montréal.
« Le problème du Québec est un peu un problème de riches : les sociétés d'État sont rentables », dit Marcelin Joanis, professeur d'économie à Polytechnique Montréal et vice-président à la recherche au CIRANO.